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Photo du rédacteurJoseph Polidori & Alexia Pierre-Pont

DEJA, DES 2013, Jean-Yves Le Drian inaugurait le laboratoire P4 de la DGA

VOICI UNE PETITE PEPITE QUI DEMANDE REFLEXION !

Cet article date du 29 octobre 2013 mais reste d'actualité


- 29/10/2013 - Auteur : CNE

Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense de l'époque, a inauguré jeudi 24 octobre le laboratoire P4 de la Direction générale de l'armement (DGA). Cette installation, la première de ce type au sein du ministère de la Défense, a pour mission de permettre aux scientifiques d'étudier les virus les plus dangereux dans les meilleures conditions de sécurité et de permettre aux forces armées d'anticiper les menaces biologiques et d'évaluer les équipements de détection et de décontamination.



Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, a inauguré jeudi 24 octobre dans l'Essonne le laboratoire P4 de la DGA. Cette installation, la première au sein de la Défense, vient combler une lacune capacitaire face au risque biologique. En effet, le laboratoire permettra de manipuler et d'étudier en toute sécurité les virus les plus dangereux et de permettre ainsi aux forces armées de mettre au point et de tester des équipements de détection, d'identification, de protection et de décontamination biologique. (NDLR MAIS QU'EN EST-IL DANS DES SITUATIONS COMME LE COVID-19 ?)


Cette capacité P4 de la Défense comprendra par ailleurs un second laboratoire distinct, celui du Service de santé des armées (SSA), qui sera dédié à la mise au point de vaccins et antiviraux. Ces installations visent à renforcer la sécurité des armées et de la Nation face à une menace biologique réelle et dont le dernier Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale avait souligné la nécessité d'anticiper les évolutions. (NDLR : POUR L'INSTANT, LA FRANCE CONTINUE DE RAMER...)


"Pour mieux répondre aux menaces grandissantes dans le domaine biologique, la Défense a décidé d'investir dans deux laboratoires qui sont complémentaires, permettant de manipuler des virus vivants de classe 4 [NDLR : Ebola, fièvre de Lassa...]. Des virus contre lesquels il n'existe encore aucun traitement connu" a rappelé le ministre à cette occasion.


Une nouvelle capacité dans la lutte contre le risque biologique

Jean-Yves Le Drian, ministre de la Défense, a inauguré le laboratoire P4 de la Direction générale de l’armement (DGA). Situé dans l’Essonne, ce laboratoire -le premier de ce type au sein du ministère de la Défense - vient combler une lacune capacitaire face au risque biologique. Le Livre blanc sur la défense et la sécurité nationale a rappelé que face au risque Nucléaire, radiologique, bactériologique et chimique (NRBC), il convient d’anticiper les évolutions de la menace en maintenant une avance technologique dans le domaine de la protection.


Tenues de protection NRBC (Nucléaire Radiologique Biologique Chimique

La capacité P4 de la Défense comprendra deux laboratoires distincts. Le premier, celui de la DGA, est dédié aux activités de connaissance du risque, de caractérisation et d’essais des équipements de protection contre la menace biologique. Le second, celui du Service de santé des armées (SSA), sera, quant à lui, dédié à la mise au point de thérapeutiques et prophylaxies (vaccins et antiviraux).


Les principales missions du P4 DGA sont de lutter contre la prolifération biologique, de développer la connaissance des menaces dans ce domaine, ainsi que d’évaluer les équipements de détection et de décontamination. (NDLR : LE MEME QUE CELUI de Wuhan)

« Pour mieux répondre aux menaces grandissantes dans le domaine biologique, la Défense a décidé d’investir dans deux laboratoires qui sont complémentaires, permettant de manipuler des virus vivants de classe 4. Des virus contre lesquels il n’existe encore aucun traitement connu », a déclaré le ministre de la Défense devant les personnels de la DGA Maîtrise NRBC réunis pour l’occasion.

Cet investissement vise à renforcer la sécurité des armées et de la Nation face à une menace biologique. Ce laboratoire va mettre au point et tester des équipements de détection, d’identification, de protection et de décontamination biologique. Ce P4, dont la maîtrise d’œuvre a été confiée au groupe français d’ingénierie Artelia, a été conçu selon les normes de sécurité les plus strictes.

La DGA contribue au développement d’un savoir français dans la lutte contre le risque NRBC.


Le Sofres d’équipement des sociétés françaises, dont de nombreuses PME, permettent de couvrir l’ensemble des besoins du domaine. Le chiffre d’affaires global réalisé par l’industrie française est de l’ordre de 500 millions d’euros, dont 40% réalisé à l’exportation. Le secteur emploie en France près de 1000 personnes.

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