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  • Photo du rédacteurPar Joseph Polidori

Ebba Aarsjoe espère que sa victoire pourra inspirer les enfants handicapés

Ebba Aarsjoe espère que sa victoire pourra inspirer les enfants handicapés.

Date:2022-03-07 14:00:30 Source:IPC


Ebba Aarsjoe espère que sa médaille d'or remportée à Pékin en 2022 pourra inspirer les enfants handicapés à pratiquer des sports para et à profiter d'un mode de vie plus sain et plus actif.


La Suédoise, skieuse para-alpine, a remporté son premier titre paralympique dans le super-combiné femmes debout lors du troisième jour de compétition (7 mars) au Centre national de ski alpin de Yangqing.




Je veux que les autres filles handicapées - et les garçons aussi, d'ailleurs - me regardent et se disent : "Moi aussi, je peux le faire". Je veux leur montrer, je suis là, faites comme moi. Vous devenez tellement plus fort et vous devenez une meilleure personne.

"C'est ce que je fais, c'est ce pour quoi je travaille, c'est ce qui est bien plus important que ce ski."



À propos de sa première médaille d'or, elle a déclaré : "Bizarre. C'est cool. C'est vraiment cool.


Aarsjoe a réalisé un temps de 1:56.51 pour remporter le super combiné devant la Chinoise Zhang Mengqiu (1:58.02) et la Canadienne Alana Ramsay (2:06.33). À propos de sa première médaille d'or, elle a déclaré : "Bizarre. C'est cool. C'est vraiment cool.


"C'était une course difficile. Il y a du sel partout sur le parcours et c'était tellement droit. J'ai juste essayé de rester dans le parcours aux dernières portes.


"Ce n'est pas seulement le fait que je puisse continuer à skier et à concourir contre des personnes atteintes d'autres handicaps. Il s'agit plutôt de la façon dont je me vois et dont ma famille me voit maintenant. C'est tellement différent.

"Je priais juste, je la regardais (la médaillée d'argent Zhang, qui menait après la course de super-G) et j'espérais un bon signe."


"Je me regarde maintenant, par rapport à mes 18 ans, et je m'aime bien. Je regarde ma jambe et je me dis que c'est bien et que c'est quelque chose de positif. Je n'aurais jamais fait ça sans les Paras".

La jeune femme de 21 ans, atteinte du syndrome de Klippel-Trenaunay qui a entraîné une réduction musculaire dans sa jambe droite, a également partagé l'importance du mouvement paralympique pour s'accepter.


"Ce n'est pas seulement le fait que je puisse continuer à skier et à concourir contre des personnes atteintes d'autres handicaps. Il s'agit plutôt de la façon dont je me vois et dont ma famille me voit maintenant. C'est tellement différent.


"Je me regarde maintenant, par rapport à mes 18 ans, et je m'aime bien. Je regarde ma jambe et je me dis que c'est bien et que c'est quelque chose de positif. Je n'aurais jamais fait ça sans les Paras".

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