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ESPACE LITTERAIRE : Tout ce que l'on vous cache sur l'ARN messager

Les Apprentis sorciers: Tout ce que l'on vous cache sur l'ARN messager


" J'accuse les laboratoires d'avoir joué aux apprentis sorciers. La technique de l'ARN messager n'était pas prête, et nous n'aurions pas dû l'injecter à des milliards d'êtres humains. "


Je ne suis pas complotiste mais généticienne, l'une des plus renommées d'après certains. Dans ce livre, je vous dirai ce qu'est l'ARN messager, celui qui compose les vaccins anti-covid. Parce que vous avez le droit de savoir. Êtes-vous prêts ?


Lauréate du prestigieux prix Eisenhower Fellowship aux Etats-Unis en 2013, Alexandra Henrion-Caude...



À Marie.


À mon mari, qui me soutient indéfectiblement.

À mes enfants, qui ont vaillamment supporté les attaques contre moi.

À mes parents, qui m’ont donné le goût

du travail et de la persévérance.

À mes grands-parents, qui m’ont appris la droiture et insufflé l’esprit de résistance.


Aux victimes des apprentis sorciers,

comme à ceux qui ont été suspendus.

À toutes les mères du monde,

qui ont à cœur de protéger leurs enfants.


À Adam, Meryl et Ruben.







Est-ce que le vaccin a stoppé l’épidémie ? Non.

Est-ce que le vaccin empêche d’attraper le Covid ? Non.

Est-ce que le vaccin empêche d’attraper à nouveau le Covid ? Non.

Est-ce que le vaccin empêche d’infecter les autres ? Non.

Est-ce que le vaccin empêche de mourir du Covid ? Non.


Note de l’éditeur

L’ouvrage d’Alexandra Henrion Caude livre aux lecteurs une analyse et une position critique concernant les vaccins à ARN messager destinés à protéger contre le Covid. Il s’inscrit à certains égards en opposition avec la position du Conseil scientifique qui a inspiré la politique de santé publique et vient nourrir le débat en cours sur les risques et les effets secondaires de certains vaccins, ce qui nous semble important. En tout état de cause, ce livre ne doit pas être considéré comme une incitation au refus de vaccination, mais comme une contribution à la réflexion générale sur ce sujet, qui est un point fondamental de santé publique.









Introduction

Docteur en génétique, je suis un chercheur franco-britannique. Pendant vingt-cinq ans, j’ai étudié comment l’environnement modifiait nos gènes, et notamment l’ARN, dans les maladies infantiles. Directrice de recherche à l’Inserm après un post-doctorat à la Harvard Medical School, mes travaux m’ont valu d’être invitée dans le monde entier. Mais en 2015, j’ai eu à cœur de rechercher des solutions de santé simples, peu coûteuses, durables et éthiques. Je suis partie en Afrique, à Maurice, où j’ai ensuite fondé mon institut de recherche : SimplissimA. La presse m’a congratulée. Et puis il y a eu le Covid. Cette crise a été pour moi une obligation à prendre mes responsabilités. Et à m’indigner quand je trouvais cela nécessaire. La presse m’a d’un coup dit d’extrême droite. Je ne le suis pas. Je n’ai d’ailleurs jamais adhéré ni exprimé mon soutien à un parti politique. On m’a dit intégriste, et sectaire. Je ne le suis pas non plus. Je suis simplement catholique et mère de cinq enfants. Ces accusations n’avaient qu’un motif : me discréditer et ainsi me réduire au silence. Parce que je n’ai pas cru à la fable qui faisait du pangolin ou de la chauve-souris les responsables du Covid. Parce que j’ai osé quitter ma blouse et mes fioles pour clamer il y a trois ans ce qui aujourd’hui est de notoriété publique : les hommes sont responsables de l’apparition de ce virus. Parce que j’ai aussi osé dire que les tests PCR ne sont pas sans risque, et que c’est une folie de traiter une population saine comme si elle était malade… Voilà les raisons pour lesquelles on m’a aussi accusée d’être « complotiste ». Je le suis si cela signifie regarder les faits, les chiffres. Je le suis si cela signifie dénoncer des mensonges. Il ne s’agit pas ici de traiter de météo ou de mode, mais de la santé de milliards d’êtres humains. Voilà pourquoi dans ce livre vous apprendrez ce qu’est l’ARN, et précisément l’ARNm, celui des vaccins anti-Covid. Êtes-vous prêts ?


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Un vaccin à ARN messager qui tient ses engagements… mais pas tous


Les personnes âgées, les principales victimes, ont été nombreuses à se faire vacciner après des mois de terreur et d’isolement. Les personnes vulnérables aussi ont vu dans ce vaccin une promesse, et pas n’importe laquelle : celle de la survie.


Dire que le monde a été pris de panique lorsque le Covid a fait son apparition est un euphémisme. Souvenons-nous que les chaînes de télévision du monde entier ne parlaient que de cela, que les radios tournaient aussi en boucle, que les unes de la presse aux quatre coins de la planète titraient encore et encore sur le sujet. C’est simple, Le Journal du dimanche (JDD) écrivait le 13 juin 2020 : « Plus d’un million d’articles sur l’épidémie ont été publiés dans la presse depuis le 1er mars. » Des millions d’heures d’antenne entièrement dédiées au Covid se sont écoulées, et ce, rien que sur les trois premiers mois de la crise sanitaire. La Terre entière était épouvantée. Qu’attendait-on ? De sortir du péril, évidemment. Le vaccin a joué ce rôle. Il a été annoncé par les gouvernements comme LA solution pour nous extirper de là. Et c’est vrai qu’il a pu redonner espoir.

Les personnes âgées, les principales victimes, ont été nombreuses à se faire vacciner après des mois de terreur et d’isolement. Les personnes vulnérables aussi ont vu dans ce vaccin une promesse, et pas n’importe laquelle : celle de la survie.

Cette demande avait été formulée par l’Organisation mondiale de la santé (OMS) dès le début de la crise. Le 11 février 2020, elle rédige une feuille de route à l’intention des États. Il est demandé aux scientifiques :

– Premièrement, d’accélérer la recherche, donc de trouver un vaccin à la vitesse de la lumière, en tout cas à une vitesse jamais atteinte.

– Deuxièmement, d’étudier, une fois que le vaccin sera créé, les risques de maladies postvaccinales. – Troisièmement, de créer des tests pour évaluer l’efficacité de ces vaccins.

Et là, force est de constater que les pays, main dans la main avec les labos, ont répondu présent. Entre l’objectif formulé et la première injection officielle dans le monde, aux États-Unis précisément, dix mois jour pour jour se sont écoulés. La rapidité avec laquelle l’industrie pharmaceutique a cherché, trouvé, développé, puis lancé le vaccin contre le Covid dans le monde entier a été phénoménale.



Côté Moderna, on ne s’est pas tourné les pouces. « Lorsque la séquence génomique du virus a été publiée en ligne par des scientifiques chinois le 11 janvier 2020, l’équipe de Moderna, basée à Cambridge, dans le Massachusetts, avait une conception de vaccin prête dans les quarante-huit heures », indique le laboratoire. Ces propos ont été relayés par le journal Forbes le 8 mai 2020. Mais l’exploit ne s’arrête pas là. On apprend que le laboratoire envoie un échantillon de son premier vaccin candidat tout juste quarante-deux jours après avoir trouvé sa formule. En clair, on a donc affaire à une équipe qui aura trouvé l’équation en deux jours et l’aura développée en produit fini en quarante-deux jours.

Dans une synchronicité quasi parfaite, Ugur Sahin, le cofondateur de BioNTech, n’aura mis que « quelques heures » en une seule journée, le 25 janvier 2020, pour trouver la formule de son vaccin ! Cette information nous est donnée lors d’un podcast du Wall Street Journal, puis confirmée par le porte-parole de BioNTech dans les colonnes du journal Business Insider. Là encore, une rapidité et une efficacité inédites.

Voilà pourquoi j’affirme que ce vaccin à ARNm a fait sortir des hommes et des femmes de leur détresse morale. Mais s’il a tenu cet engagement, cela n’a pas été le cas pour tous…

On nous avait dit :

« L’espoir est là, dans ce vaccin. » (Emmanuel Macron, président français, le 31 décembre 2020)

« Depuis quelques jours, l’espoir a un visage : celui des premiers vaccinés. » (Angela Merkel, chancelière allemande, le 31 décembre 2020)

« Il ne s’agit pas de liberté, ou de choix personnel, mais de vous protéger ainsi que ceux autour de vous. » (Joe Biden, président américain, le 9 septembre 2021)

« La propagation de la pandémie ne peut être évitée que par la vaccination. » (Vladimir Poutine, président russe, le 30 juin 2021)

« Appeler à ne pas se faire vacciner, c’est essentiellement appeler à mourir. On ne se fait pas vacciner, on tombe malade, on meurt. Ou on tue : on ne se fait pas vacciner, on tombe malade, on contamine, quelqu’un meurt. » (Mario Draghi, Premier ministre italien, le 22 juillet 2021)

Tous les présidents, les chefs de gouvernement et les ministres de la Santé du monde entier nous ont donc répété à tue-tête que le vaccin était le messie. Vraiment ?


Est-ce que le vaccin a stoppé l’épidémie ? Non.

Est-ce que le vaccin empêche d’attraper le Covid ? Non.

Est-ce que le vaccin empêche d’attraper à nouveau le Covid ? Non.

Est-ce que le vaccin empêche d’infecter les autres ? Non.

Est-ce que le vaccin empêche de mourir du Covid ? Non.

Non, ce vaccin n’a pas arrêté l’épidémie. Ainsi, le 10 janvier 2023, on recense 296 936 nouveaux cas de Covid par jour dans le monde.


Non, il n’a pas non plus empêché d’attraper le Covid, une fois, deux fois, ou plus encore. Comme le prouve une étude publiée fin 2021 dans Science : sur 780 000 retraités de la Health Administration suivis aux États-Unis entre février et octobre 2021, la protection vaccinale est passée en moyenne de 86,9 % à 43,3 % sur cette période. Le directeur général de l’OMS a donc raison de déclarer dès le 23 novembre 2021 : « Si vous êtes vaccinés, vous risquez tout de même de contracter la maladie. »


Ce sont d’ailleurs les chefs d’État eux-mêmes qui le démontrent le mieux : Andrzej Duda en Pologne, vacciné et positif pour la seconde fois en janvier 2022, Andrés Manuel López Obrador au Mexique, vacciné et positif en janvier 2022, le roi Charles d’Angleterre, vacciné et positif en février 2022, le prince Albert II de Monaco, vacciné et positif en avril 2022, Justin Trudeau au Canada, vacciné et positif en juin 2022, le président Lula du Brésil, vacciné et positif en juin 2022, Joe Biden aux États-Unis, vacciné et positif en juillet 2022… Une liste que j’abrège pour poursuivre sur les autres engagements ratés de ce vaccin.


Non, le vaccin n’empêche pas non plus d’infecter les autres. Selon l’étude la plus récente publiée par le New England Journal of Medicine, en juin 2022, qui a l’intérêt de comparer à la fois des non-vaccinés, des vaccinés sans rappel, et des vaccinés avec rappels : « Nous n’avons pas trouvé de grandes différences dans la durée médiane de l’excrétion virale entre les participants. » Autrement dit, vaccin ou pas, rappels ou pas, lorsque vous êtes porteur du virus, vous êtes possiblement contagieux…


Allons plus loin. Selon une étude de Harvard, publiée dans le European Journal of Epidemiology, l’augmentation des cas de Covid n’est pas liée au taux de vaccination. C’est ce que montre une analyse faite dans 68 pays. En Israël, au Portugal et en Islande, c’est entre 60 % et 75 % de la population qui est entièrement vaccinée. Et pourtant, c’est étonnamment dans ces pays que l’on recense le plus de cas de Covid par million d’habitants. Il faut préciser que cette étude date du 30 septembre 2021, c’est-à-dire avant l’arrivée des nouveaux variants, qui n’ont fait que renforcer cette tendance.


Une étude récente menée en Afrique du Sud et publiée dans le New England Journal of Medicine en septembre 2022 nous apprend en effet que face à Omicron deux doses de vaccin, tout comme trois doses, ne sont pas efficaces, puisqu’elles n’empêchent pas l’hospitalisation, autrement dit les formes graves.


Et puis, il y a les engagements auxquels on se serait attendus, mais qui n’ont pourtant jamais été énoncés. Je pense à l’engagement de ne pas nous faire mourir, comme à celui de ne pas occasionner des effets secondaires de nature à bouleverser toute une vie… Le fameux principe de la médecine de ne pas nuire. Un principe qu’on imagine partagé par tous.


On a compris que le ton était tout autre dès que l’on a eu accès à ces documents de Pfizer que nous ne devions pas lire avant 75 ans (et 4 mois). Nous y apprenons qu’en trois mois d’essais cliniques, environ 14 morts par jour ont été enregistrés par Pfizer, avec exactement 1 223 décès et 158 893 effets indésirables enregistrés entre le 1er décembre 2020 et le 28 février 2021.


Et effectivement, que l’on prenne les données de pharmacovigilance des différentes autorités existantes, que ce soit l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament) en France, le VAERS (systèmes de rapport des effets secondaires des vaccins) aux États-Unis, Eudravigilance pour l’Union européenne, la Yellow Card au Royaume-Uni, la DAEN en Australie, ainsi que VigiBase/VigiAccess pour l’OMS, on observe chaque fois un nombre extrêmement alarmant d’événements indésirables et de décès.


En prenant les dix dernières années dans la base de données du VAERS, on note 4 800 % de décès en plus, suite au vaccin anti-Covid. En prenant VigiAccess, il a suffi d’une seule année de vaccin anti-Covid pour atteindre dix fois plus d’effets indésirables que tous les effets secondaires obtenus contre la grippe en cinquante ans. À ce jour, ce sont « plus de 11 millions de rapports d’événements indésirables et plus de 70 000 décès » qui ont été rapportés.


Toujours dans la base du VAERS des États-Unis en date du 9 septembre 2022, si l’on ne regarde que les formes graves, on comptait plus de 30 000 morts, 177 000 hospitalisations, 135 200 urgences, 10 000 chocs anaphylactiques, ainsi que près de 58 000 handicaps permanents, 52 000 myocardites, 34 000 mises en danger de la vie, 44 700 réactions allergiques sévères, 16 000 crises cardiaques, près de 15 000 zonas, 9 000 problèmes plaquettaires de type thrombocytopénie et 5 000 fausses couches dans lesquels un lien avec les vaccins Covid est incriminé.


Sans que personne en parle, la base de données VigiAccess indique que les principales victimes de ces vaccins sont majoritairement des femmes. Deux tiers de femmes contre un tiers d’hommes. Près d’une victime sur deux est européenne. Et les jeunes entre 18 et 44 ans, qui n’étaient pourtant pas à risque du Covid, représentent 40 % des victimes.


Actuellement, ce sont des milliers de publications scientifiques qui viennent soutenir la description de ces maladies et décès post-vaccination.


Mais ces articles alertent aussi sur l’effondrement de la réponse immunitaire chez les vaccinés, et sur le danger que représentent de nouvelles injections pour eux, comme le rapporte The Lancet en juin 2022. Voici ce qu’en écrit un chercheur dans Virology Journal : « Récemment, The Lancet a publié une étude sur l’efficacité des vaccins Covid-19 et le déclin de l’immunité avec le temps. L’étude a montré que la fonction immunitaire chez les personnes vaccinées huit mois après l’administration de deux doses de vaccin Covid-19 était inférieure à celle des personnes non vaccinées. » Il poursuit : « Selon les recommandations de l’Agence européenne des médicaments, des injections de rappel Covid-19 fréquentes pourraient avoir un effet négatif sur la réponse immunitaire. » Et d’ajouter : « Par mesure de sécurité, les rappels ultérieurs doivent être interrompus. En conclusion, la vaccination contre le Covid-19 est un facteur de risque majeur d’infections chez les patients gravement malades. » Comprenez que l’on a un souci avec la réponse immunitaire des vaccinés, un risque à multiplier les doses, mais aussi que la vaccination peut être dangereuse pour les plus vulnérables.


Le 12 juillet 2022, dans le British Medical Journal (BMJ), un groupe de scientifiques interpelle les deux patrons respectifs de Moderna et Pfizer, afin que les don nées des essais cliniques, et pas uniquement les protocoles, soient enfin rendues publiques. Ils s’inquiètent notamment du fait que, selon leurs informations, les vaccins Pfizer et Moderna présentent tous deux une augmentation du risque absolu d’événements indésirables graves de 1 pour 800 vaccinés.


Le 31 août 2022, une étude paraît dans la revue Vaccine, qui évalue les effets secondaires graves dus au vaccin chez les adultes. Pour cela, ils ne partent pas de leurs propres appréciations, mais se fient à la liste des effets secondaires de la Brighton Collaboration qui est affiliée à l’OMS. Il apparaît pour la première fois clairement que les personnes vaccinées, dans les deux études combinées, présentaient un risque accru de 16 % d’effets secondaires graves par rapport au groupe placebo. Dans l’étude Moderna, 15 participants vaccinés sur 10 000 ont subi un effet secondaire grave. Dans l’étude Pfizer/BioNTech, le risque est de 10 pour 10 000. Les deux études compilées montrent donc bien une augmentation de 16 % du risque d’effet secondaire grave après la vaccination. Tout cela pour dire que « le rapport bénéfice/risque dans les données randomisées au moment de l’autorisation d’urgence était négatif, c’est-à-dire que le risque d’effet secondaire grave était plus élevé que le bénéfice démontré ». Vous trouverez évidemment le lien de cette étude, comme de toutes celles citées dans le livre d’ailleurs, en fin d’ouvrage.


Cette étude va faire suffisamment de bruit pour qu’en Allemagne, le 9 septembre 2022, le principal quotidien berlinois, le Berliner Zeitung, s’y intéresse et interviewe l’épidémiologiste et professeur émérite à l’université de Münster, Ulrich Keil. « Nous constatons donc une augmentation absolue du risque dû à la vaccination ARNm-Covid-19 », explique-t-il.


Le 12 septembre 2022 est publiée une autre étude, qui révèle cette fois que le vaccin peut être plus dangereux que le virus lui-même, jusqu’à 98 fois plus dangereux. Elle est menée par des scientifiques de Harvard et de Johns-Hopkins, dans la revue Social Science Research Network (SSRN), et repose sur les données du Centre pour le contrôle et la prévention des maladies aux États-Unis (CDC) et des laboratoires eux-mêmes, chez de jeunes adultes entre 18 et 29 ans. Elle indique que les obligations de rappel peuvent causer les préjudices suivants : « Pour une hospitalisation Covid-19 évitée chez les jeunes adultes non infectés auparavant, nous prévoyons 18 à 98 événements indésirables graves. » Il s’agit notamment des myocardites. Ils jugent ces préjudices comme n’étant « pas contrebalancés par un avantage important pour la santé publique » et considèrent « ces préjudices et restrictions de liberté […] disproportionnés et éthiquement injustifiables ».


Regardons sur-le-champ l’étendue de ces effets indésirables, grâce à la « liste prioritaire des événements indésirables d’intérêt particulier ».

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