TOUR DE FRANCE ETAPE 3 + PODIUM ETAPE 2
02/07/2023 - Tour de France 2023 - Etape 2 - Vitoria-Gasteiz / Saint-Sébastien (208,9 km) - LAFAY Victor (COFIDIS) - Vainqueur de l’étape
Depuis 1946, Amorebieta est le théâtre d’une course de l’UCI Europe Tour, la Klasika Primavera, qui se déroule généralement le même jour que Paris-Roubaix.
A.S.O./Charly Lopez
RETOUR SUR L'ÉTAPE
Le Top 5 de l'étape 17:21 1. Victor Lafay 2. Wout van Aert 3. Tadej Pogacar 4. Tom Pidcock 5. Pello Bilbao
17:19 Victoire de Victor Lafay a résisté au retour du groupe de poursuite et remporte sa première étape sur le Tour de France en s'échappant à un kilomètre de l'arrivée en longeant les barrières et laissant le groupe de poursuiteurs sur leur fin !
Sous la Flamme Rouge 17:18 Victor Lafay lance une offensive.
Au tour de Skjelmose 17:17 Le champion du Danemark a attaqué, mais Van Aert a ramené le groupe Maillot Jaune sur lui.
Plus que 3 kilomètres 17:16 Tom Pidcock tente une accélération mais ne parvient pas à se détacher.
Jumbo-Visma rapproche le groupe de poursuite 17:13 Trois coureurs de Jumbo comblent l'écart sur Pello Bilbao, repris à 5,5 km du but.
Le combat pour les bonifications de temps 17:11
5'' d'avance pour Pello Bilbao17:10 A 8 km du but, c'est Wout van Aert qui mène la poursuite derrière l'homme de tête.
Pello Bilbao fait la descente 17:08 Le coureur basque tente sa chance, il a pris une cinquantaine de mètres d'avance.
Un groupe se reforme autour de Pogacar et Vingegaard
17:07 A 12 km de l'arrivée, il y a plus de 20 coureurs dans ce peloton. Il manque notamment Thibaut Pinot et Guillaume Martin.
17:05
Pogacar et Vingegaard en duo
17:03 A 15 km de l'arrivée, c'est le maillot blanc qui mène dans la descente. Le duo a 10'' d'avance sur leurs premiers poursuivants.
Résultat au sommet du Jaizkibel (km 192,4) 17:02 1. Pogacar, 5 pts / 8'' 2. Vingegaard, 3 pts / 5'' 3. S.Yates, 2 pts / 2'' 4. Ciccone, 1 pt
Pogacar bascule en tête
17:01
Il est uniquement suivi par Vingegaard, battu mais qui a tenu la roue.
All the leaders are well placed
17:01
Thibaut Pinot (Groupama-FDJ)
17:00
Dernier kilomètre d'ascension
17:00
Une bataille se prépare pour les points de la montagne et les secondes de bonifications du point bonus.
Pinot distancé du peloton
16:57
Il n'y a plus qu'une trentaine de coureurs dans le peloton, et Alaphilippe est également lâché. Il reste 2 km de montée.
C'est fini pour Powless
16:55
Il est repris à 19 km de l'arrivée.
Plus que 10'' d'avance pour Powless
16:55 Le maillot à pois ne pourra pas résister. Majka se positionne à l'avant du peloton 1
6:54 Il s'est placé à l'avant au moment où la course va attaquer les pentes les plus raides du Jaizkibel.
PODIUM ETAPE 2
ÉTAPE 3 - AMOREBIETA-ETXANO>BAYONNE - 03 JUILLET 2023
LONGUEUR - 193.5 km
Ville d'Arrivée : AMOREBIETA-ETXANO ET LE CYCLISME
Depuis 1946, Amorebieta est le théâtre d’une course de l’UCI Europe Tour, la Klasika Primavera, qui se déroule généralement le même jour que Paris-Roubaix. De grands noms figurent au palmarès de l’épreuve, de Miguel Poblet à Alejandro Valverde, triple vainqueur, sans oublier Laurent Jalabert, sacré en 1995. La course a été annulée pendant les années Covid. La ville organise également le Premio Primavera, course réservée aux catégories cadets à espoirs. Parmi les coureurs originaires de la ville, on note Benat Intxausti, qui a disputé le Tour de France en 2011 et 2014 et a remporté deux étapes du Giro, dont il a porté le maillot rose en 2013, ou Felipe Alberdi, vainqueur d’une étape du Tour d’Espagne 1960 et qui porta à cette occasion le maillot amarillo. Amorebieta a également organisé le championnat du monde de cyclo-cross en 1978, remporté par le quintuple maillot arc-en-ciel de la spécialité, le Suisse Albert Zweifel, qui participa au Tour de France en 1981.
À VOIR
Zornotza Aretoa Construction : inauguré en 1994. Histoire : inauguré le 7 janvier 1994, le Zornotza Aretoa est né de l'achat et de la rénovation de l'ancien cinéma Zornoza par la mairie d'Amorebieta-Etxano. Depuis, l'Aretoa Zornotza, communément appelé « l'Areto », est devenu un espace de référence pour l'exposition et la production des arts scéniques (théâtre, musique, danse) et du cinéma, faisant partie de SAREA, le réseau public des théâtres basques. Caractéristiques : les représentations, généralement le vendredi, le cinéma du week-end et le ciné-club le mardi, se déroulent pendant la saison d'octobre à juin pour compléter une offre publique variée de loisirs et de culture. En outre, ses installations sont utilisées pour un large éventail d'activités telles que des présentations, des projections, des conférences, etc. Ses installations abritent également les bureaux du groupe théâtral Markeline, avec lequel il a conclu un accord de résidence qui lui permet, entre autres, de préparer et de présenter tous ses spectacles de théâtre. Sa capacité est de 353 places, 253 dans la cour et 100 dans l'amphithéâtre.
Palais de Cancelada Construction : XIXe siècle. Style : néoclassique Caractéristiques : dans un environnement plutôt baroque et chargé, le palais de Cancelada attire l’attention des passants par sa façade discrète faite de pierres de taille, avec seulement deux petits balcons servant d'ornements. Son austère façade ne doit pas nous induire en erreur. Les quatre étages du bâtiment sont constitués des meilleurs matériaux de construction de l'époque. C’est une référence parmi les bâtiments historiques de la ville.
Église Santa-Maria de la Asuncion Construction : XVIe siècle Style : gothique et Renaissance Caractéristiques : la construction a été entamée en 1556 par le maître tailleur de pierre de Cortézubi Domingo de Iturrieta, dans un style gothique. Il s'agit d'une église Renaissance à une seule nef. Elle est divisée en cinq travées égales, et dans la deuxième travée se trouvent deux chapelles qui donnent à la nef l'aspect d'une croix. Le chœur est octogonal. Histoire : Domingo de Iturrieta, a été chargé de bâtir les fondations de l’édifice, mais en dépit d’un contrat avantageux, a fait durer les travaux avant d’en être dessaisi. L’église a finalement été achevée 103 ans plus tard grâce à la patience et à la générosité des paroissiens. Au XVIIIe siècle, l’église a été agrandie avec l’argent d’habitants partis faire fortune en Amérique du Sud. Le clocher définitif, œuvre de Juan lturburu, date de 1774. Classement : monument historique-artistique protégé par le Conseil provincial de Biscaye.
Église du couvent de Larrea Construction : XVIIIe siècle. Caractéristiques : couvent de carmélites fondé en 1712 par Juan de Larrea et Teresa de Undarra. Le plan de l’église suit un modèle très courant dans les constructions conventuelles classiques et baroques, une seule nef divisée en deux travées et un transept. Le cloître se trouve du côté de l’Évangile, en contact avec le bras du transept, et comporte deux étages, avec des arcs en plein cintre. Elle est construite en maçonnerie de pierre de taille de haute qualité. Signes particuliers : parmi le mobilier, presque entièrement rococo, les deux retables se distinguent, avec une image de l’Ecce-Homo dans l’un et le relief de l'Annonciation dans l'autre. Parmi les bijoux, on trouve un bel ostensoir, ainsi qu'un calice.
Palais Lopez Construction : 1926 Architecte : Castor de Uriarte. Caractéristiques : c'est un beau bâtiment néoclassique. Il s'agit d'un grand cube auquel est rattaché une tour rectangulaire, décorée de détails classiques et baroques. À MANGER
La Zurrukutuna
C’est la version basque de la soupe à l’ail, qui est agrémentée de morue, de piments, d’œufs et accompagnée du pain traditionnel basque, le sopako. À Amorebieta, la recette du restaurant Jauregibarria est particulièrement réputée.
AMOREBIETA-ETXANO 03/07/2023 - ÉTAPE 3 - 193,5 KM - PLAT
Commune de Biscaye Ville étape pour la première fois Population : 19 587 hab. Personnalités : Benat Intxausti (cycliste), Carmelo Cedrun (football), Joseba Etxebarria (football), Xabie Exteita (football). Spécialités : zurrukutuna (soupe à l’ail), morue, calamars, txuleta et ragoût de légumes. Culture et festivals : Haizetara (musique de rue). Fiestas d’Amorebieta. Sports : SD Amorebieta (football, D2 espagnole). Évènements: Klasika Primavera, Premio Primavera (cyclisme). Économie : Recherche et technologie (Tecnalia). Zone industrielle de Boroa (Parque empresorial Boroa). Centrale thermique de Boroa. Nom basque : Zornotza Sites web / FB / Twitter / Instagram: www.sansebastianturismoa.eus, www.donostia.eus
ville d'arrivée : BAYONNE
BAYONNE ET LE CYCLISME
Bayonne a déjà accueilli le Tour de France à 32 reprises, et ce depuis 1906, mais la ville n’avait plus reçu la Grande Boucle depuis 2003, lorsque l’Américain Tyler Hamilton s’y était imposé. Pas moins de six vainqueurs de la Grande Boucle y ont levé les bras : Petit-Breton (1907, 1908 et 1909), Lapize (1910), Lambot (1920), Bottecchia (1925), Frantz (1926) et Anquetil (1966). Lors de la première visite du Tour, en 1906, la victoire était revenue à un presque enfant du pays, Jean-Baptiste Dortignacq, originaire de Peyrehorade, à 35 km de là. Battu au sprint par Louis Trousselier, il avait bénéficié du déclassement de ce dernier, qui avait omis de se présenter à un contrôle. Surnommé « la gazelle », Dortignacq a remporté sept étapes du Tour de France, qu’il a terminé sur le podium en 1904 et en 1905. La ville a également figuré à cinq reprises au programme de la Vuelta. Bayonne est la ville natale de Roger Lapébie, vainqueur du Tour de France 1937 et de neuf étapes de la Grande boucle. Parmi les autres coureurs bayonnais, on citera Paul Maye, vainqueur de deux étapes du Tour de de France, de Paris-Roubaix 1945, de trois éditions de Paris-Tours et champion de France à deux reprises.
À VOIR
Fêtes de Bayonne Les fêtes de Bayonne sont l’un des rassemblements festifs les plus populaires et les plus attendus du sud-ouest de la France. Durant cinq jours, au cœur de l’été, la ville se transforme en capitale de la fête sur fond de traditions, de musiques, de chants et de joie de vivre autour de son roi Léon. C’est aux anciens joueurs de rugby de l’Aviron bayonnais que l’on doit la création des fêtes de Bayonne en 1932. Cette année-là, en rentrant des déjà célèbres fêtes de Pampelune, ville jumelle de Bayonne, les joueurs bayonnais lancent l’idée d’organiser un rassemblement festif dans leur ville. Le maire de l’époque, Joseph Garat, valide le projet et la machine se met alors en route. Immédiatement, une certaine alchimie prend corps et les Bayonnais s’associent immédiatement et avec plaisir à cette initiative. Les fêtes de Bayonne sont nées et, depuis ce 13 juillet 1932, elles n’ont cessé de grandir jusqu’à devenir l’une des références en la matière en France… et dans le monde !
Citadelle de Bayonne Construction : fin du XVIIe siècle Style : forteresse Vauban. Caractéristiques : la citadelle comprend un carré de 480 mètres de côté avec quatre grands bastions à orillons, trois demi-lunes, des tenailles dans les fossés des courtines pour faciliter les sorties. Actuellement, la Porte de l'Adour dite Porte Royale est fermée, son ancien poste de garde abrite des bureaux. La Porte de Secours sur la façade nord est désormais la seule entrée. Histoire : après avoir été une prison sous la Révolution française et le Premier Empire, la citadelle est redevenue un camp militaire pour différents régiments. Le 1er Régiment Parachutiste d'Infanterie de Marine y tient garnison depuis sa création en 1960. Classement : Monument Historique depuis 1929.
Musée basque Construction : XVIe siècle pour la maison Dagourette. Ouverture du musée en 1924. Caractéristiques : le musée basque et de l'histoire de Bayonne présente une collection historiographique et ethnographique consacrée au Pays basque en France. Cela va du quotidien du berger et de l'agriculteur depuis la protohistoire, des outils, des arts domestiques et traditionnels, des peintures, des jeux et danses, en passant par l'identité basque à travers les siècles. Il a été rénové en 2011. Classement : Monument Historique depuis 1991. Musée de France depuis 2003.
Cathédrale Sainte-Marie Construction : 1213, achevée au XVIe siècle. Style : gothique Caractéristiques : cathédrale ogivale, surmontée par deux flèches de 85 m de haut. Elle renferme la châsse de saint Léon, évêque de Bayonne au IXe siècle. Un cloître, datant de 1240, lui est attenant. Histoire : depuis la fin du IVe siècle, Bayonne est le siège d'un évêché et possède une cathédrale dédiée à la vierge Marie. Celle-ci est détruite par les Normands puis par les Maures. Au XIIe siècle, l'évêque Raymond de Martres projette de construire une cathédrale romane dédiée à Notre-Dame sur l'emplacement de la cathédrale actuelle. Elle possède déjà un cloître dont le mur extérieur ouest est probablement le plus ancien vestige. En 1258, un grand incendie détruit la moitié de la ville et Bayonne fait appel à un architecte anonyme, le « maître champenois », qui reconstruit l’édifice dans le style gothique. Signes particuliers : le cloître, de style gothique rayonnant est l'un des plus grands de France. Au Moyen Âge, c'était un lieu de réunion et de conversation pour les assemblées de quartiers ou de corporations. Il est toujours le lieu de manifestations culturelles telles que les Artisans du cloître ou des concerts. Il a été entièrement restauré ces dernières années et est géré par le centre des monuments nationaux Classements : Monument Historique en 1862. Patrimoine mondial de l’Unesco au titre des chemins de Compostelle depuis 1998.
Château-Vieux Construction : XIe au XVIIe siècles. Style : forteresse médiévale Histoire : le Château-Vieux est construit en bordure du site d’un castrum romain qui abritait la garnison et l'administration de la région nommée Lapurdum. À partir de la fin du XIe siècle, les vicomtes de Labourd édifient une forteresse qui s’appuie sur trois tours romaines puissamment renforcées. Elle prend le nom de Château-Vieux à la fin du XVe siècle, après la construction d'un nouveau château, dit château-neuf, dans le quartier du Petit-Bayonne. Au XVIIe siècle, le château a été réaménagé par Vauban. Destination actuelle : le château est le siège des autorités militaires de la ville. Classement : Monument Historique depuis 1931.
Château-Neuf Construction : XVe siècle. Style : forteresse Histoire : après la guerre de Cent ans, les Français, ayant repris la ville en 1451, décidèrent d'améliorer son système défensif en construisant le château neuf, adossé à l'enceinte anglaise du début du XIVe siècle. Le château permettait de faire face aux menaces espagnoles ou anglaises et de prévenir toute velléité de révolte des Bayonnais. En 1520, le château fut renforcé. En 1680, Vauban fut envoyé à Bayonne. Il augmenta la capacité de casernement du château neuf et en fit murer les fenêtres basses. Le château neuf conserva cette fonction de casernement jusqu'à sa désaffectation par l'armée dans les années 1980. Caractéristiques : Le château est un ensemble défensif quadrangulaire comportant, au sud-ouest, une tour ronde datant des années 1460, avec ses deux courtines attenantes. Au sud-est, se trouve la tour carrée, dite également « tour Mocoron » ayant appartenu à l'enceinte urbaine anglaise. Au nord-est s'élève le portail de Mocoron. Cette ancienne porte de ville du XIVe siècle comprend deux tours polygonales. Au nord subsiste la courtine anglaise. La tour en quart de cercle servit de cachot. Au sud de la tour carrée nord-ouest s'élève une tour oblongue bâtie vers 1462. Destination actuelle : Il abrite depuis 1995 le campus Nive de l'UPPA (Université de Pau et des Pays de l'Adour) et les services administratifs. Classement : Monument Historique depuis 1929.
Château de Marracq Construction : XVIIIe siècle. Style : Louis XIV Histoire : il a été construit au début du XVIIIe siècle par Marie-Anne de Neubourg, reine d'Espagne en exil, mais elle ne l’a jamais habité, préférant sa résidence de Saint-Michel. Napoléon Ier, après l'avoir acheté le 19 mai 1808 sur sa cassette personnelle des frères Marqfoy, en a fait un de ses palais impériaux. C'est ici aussi qu'a été signé l'Abdication de Bayonne des Bourbons d'Espagne en avril 1808 en faveur de Napoléon Ier, qui installa son frère Joseph Bonaparte sur le trône. À la Restauration, Marracq reste inoccupé. L'armée s'y installe en 1823, mais le château est dévasté par un incendie en 1825. Destination actuelle : aujourd'hui, il appartient à la ville de Bayonne. Au sud du château, se trouve le collège Marracq. Classement : Monument Historique depuis 1907.
BAYONNE 03/07/2023 - ÉTAPE 3 - 193,5 KM - PLAT
Sous-préfecture des Pyrénées-Atlantiques Ville étape pour la 33e fois Population : 52 000 hab. Personnalités : Didier Deschamps (football). Roger Lapébie (vainqueur du Tour de France 1937). Jean Dauger (rugbyman international), Edmond de Lancastre (1er comte de Lancastre, mort à Bayonne en 1296), Léon Bonnat (peintre), René Cassin (Prix Nobel de la paix en 1968). Katia et Marielle Labèque (pianistes). Spécialités : jambon de Bayonne. Chocolats de Bayonne. Culture et festivals : Fêtes de Bayonne. Bayonne fête son chocolat. Foire du jambon (avril). Arènes en scène (juillet). Festival Paseo (été). Jazz en mars (à Tarnos). Festival Haizebegi (musique, octobre) Sports : Aviron bayonnais (rugby, football, aviron), Denek Bat Bayonne Urcuit (basket), siège de la Fédération française de pelote basque. Évènements : course des remparts (course pédestre, mars) Économie : port de Bayonne, chimie, métallurgie, tourisme, services (grandes surfaces). Centre hospitalier de la Côte basque. Nom basque : Baiona. Sites web / FB / Twitter / Instagram: www.bayonne.fr / www.visitbayonne.com
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