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Photo du rédacteurPar Joseph Polidori

TOUR DE FRANCE ÉTAPE 2

Mise à jour le 02/07/2023


ÉTAPE 2 - VITORIA-GASTEIZ>SAINT-SÉBASTIEN


Rendez-vous régulier du Tour du Pays basque et de la Vuelta, Vitoria-Gasteiz a déjà accueilli le Tour de France, en 1977,


 

CLASSEMENT ETAPE 1 BILBAO - BILBAO


 


TOUR DE FRANCE ÉTAPE 2

DIM. 02/07

ÉTAPE 2 - VITORIA-GASTEIZ VILLE DE DÉPART

LONGUEUR 208.9 km


VITORIA-GASTEIZ ET LE CYCLISME

Rendez-vous régulier du Tour du Pays basque et de la Vuelta, Vitoria-Gasteiz a déjà accueilli le Tour de France, en 1977, pour une étape remportée par l’Espagnol José Nazabal après 110 km d’échappée solitaire. La ville a accueilli la Vuelta à 21 reprises, le plus souvent dans les années 60. Mais lors de la dernière édition, Vitoria-Gasteiz a vu le départ d’une étape remportée à Laguardia par Primoz Roglic. Le plus célèbre coureur cycliste de la ville est Joseba Beloki qui, bien que né à Lazcano, à une soixantaine de kilomètres, a grandi à Vitoria. Sur le podium du Tour à trois reprises, le coureur basque n’a jamais retrouvé son meilleur niveau après une chute sur la route de Gap en 2003. Natif de Vitoria, Francisco Galdos fut également l’un des plus grands spécialistes de courses par étapes des années 1970 : deuxième de la Vuelta en 1979 et du Giro en 1975, il a participé au Tour de France à onze reprises, terminant 4e en 1977 et à quatre reprises dans les dix premiers. Né à Murgia, à 20 km de la capitale du Pays basque espagnol, Mikel Landa est aussi un régional de l’étape : le leader de la formation Bahrain-Victorious a terminé cinq Tours de France, deux fois au pied du podium. Troisième du Tour d’Italie a deux reprises, il en a remporté le classement de la montagne en 2017. La capitale du Pays basque espagnol est aussi la ville des frères Gonzalez de Galdeano, Igor et Alvaro. Igor, qui termina à la 5e place du Tour de France en 2001 et 2002, porta également le Maillot Jaune pendant une semaine cette deuxième année. Il compte à son actif une deuxième place au général et une victoire d’étape sur la Vuelta. Alvaro a lui aussi pris part à la Grande Boucle à quatre reprises entre 1999 et 2003 et a remporté une étape sur le Giro et sur la Vuelta. Les deux frères ont ensuite dirigé l’équipe basque Euskadi. Autre coureur du cru, Francisco Javier Mauleon a participé six fois au Tour de France et a terminé dans le top 20 de l’épreuve en 1992. Il a également remporté une étape de la Vuelta cette même année.


À VOIR

Place de la Virgen Blanca Également connue sous le nom de Plaza Vieja (vieille place), elle faisait partie des faubourgs et accueillait autrefois les marchés extérieurs. Construite au XVIIe siècle, sur sa partie centrale se dresse le monument commémorant la bataille de Vitoria contre les troupes napoléoniennes. Elle a été et reste aujourd'hui encore le cœur de la ville.


Monument de la Bataille de Vitoria Construction : 1917 Sculpteur : Gabriel Borrás y Abella Histoire : La bataille de Vitoria fut livrée le 21 juin 1813, entre les troupes françaises qui escortaient le roi d'Espagne Joseph Bonaparte dans sa fuite et un conglomérat de troupes britanniques, espagnoles et portugaises sous le commandement du général Arthur Wellesley, vicomte de Wellington. La victoire des Alliés sanctionna la retraite définitive des troupes françaises d'Espagne (à l'exception de la Catalogne) et obligea l'empereur Napoléon à rendre la couronne espagnole à Ferdinand VII, mettant fin ainsi à la guerre d'indépendance espagnole. Petite histoire : à la fin de juillet, quand arriva la nouvelle à Vienne de la défaite française, Johann Nepomuk Mælzel chargea Ludwig van Beethoven de composer une symphonie pour célébrer la victoire. Il s'agit de La Victoire de Wellington opus 91.


Église San Miguel Construction : XIVe au XVIe siècle. Style : gothique et Renaissance. Caractéristiques : l'église domine les places de la Virgen Blanca et de la General Loma, centres vitaux de la ville, et son style gothique contraste avec les bâtiments néoclassiques qui longent sa base. Son retable baroque (1624 à 1632) est considéré comme l’un des chefs d’œuvre de Gregorio Fernandez et de ses ateliers. Histoire : construite à la fin du XIVe siècle sur le versant sud de la colline de la Vitoria primitive, en dehors de ses murs et de la porte de San Bartolomé. Elle occupe probablement le même emplacement que l'église, également dédiée à San Miguel, mentionnée dans la charte de fondation accordée par le roi navarrais Sancho VI le Sage en 1181. Classement : Bien d’intérêt culturel en 1995.


Cathédrale Santa Maria Fondation : 1200 Style : gothique Histoire : elle est située dans la partie la plus haute de la colline sur laquelle s'était installée la ville primitive, fondée en 1181, sous le nom de « Nova Victoria », par le roi Sancho VI de Navarre dit Le Sage et qui a postérieurement donné naissance à la ville actuelle. Avec la naissance du diocèse de Vitoria durant l'année 1862, elle a acquis le titre de cathédrale. Elle est aussi connue comme la catedral vieja (vieille cathédrale), pour la distinguer de la catedral nueva (nouvelle cathédrale), consacrée à l’Immaculée Conception de Marie et érigée au XXe siècle dans le style néogothique. Classement : Bien d’intérêt culturel (1931). Patrimoine mondial de l’Unesco au titre des chemins de Compostelle.


Ajuria Enea Construction : 1920 Architecte : Alfredo Baeschlin. Style: néo-basque. Histoire : situé sur la promenade Fray Francisco de Vitoria, le palais d'Ajuria Enea a été construit en 1920 par l'architecte suisse Alfredo Baeschlin pour l’industriel Serafín Ajuria Urigoitia. En 1980, après avoir été un musée, le palais est devenu le siège de la communauté autonome du Pays Basque. Caractéristiques : son aspect extérieur présente tous les éléments architecturaux de l'art néo-basque (double archerie dans le rez-de-chaussée, trois baies vitrées centrales unifiées avec des cavités balconées et éléments héraldiques dans le premier étage, fenêtres en demi-cintre).


Casa del Cordón Construction : XVe siècle Style : architecture gothique civile Caractéristiques : la casa del Cordón est une maison bourgeoise dans la rue Cuchillería du vieux quartier de Vitoria. Elle doit son nom au cordon de l'ordre franciscain placé sur l'arche de l'une des entrées jumelles de la maison. Histoire : elle a été construite au XVe siècle par le commerçant juif converse Pedro Sánchez de Bilbao sur de vieilles maisons médiévales, autour de l'ancienne tour des Gaona du XIIIe siècle, laquelle subsiste dans les deux premiers étages du palais. La voûte brisée et polychrome qui couvre la salle de réception de la tour est restée intacte jusqu'à nos jours. Signe particulier : a accueilli des hôtes illustres comme Philippe le Beau et son épouse Jeanne la Folle. Adrien VI se trouvait dans ce palais en 1522 lorsqu’il apprit qu’il était nommé pape. Destination actuelle : après un complexe travail de restauration, le bâtiment abrite de nombreuses expositions au caractère didactique prononcé : expositions sur le monde de la culture autochtone, l'histoire, la nature, l'artisanat, le folklore, la mythologie basque, etc.

Musée Artium Fondation : ouverture au public en 2002 Caractéristiques : œuvre de l'architecte José Luis Catón, l’édifice est installé sous une vaste place en forme de trapèze précédemment occupée par la vieille gare routière de Vitoria-Gasteiz. Comme dans un entrepôt, une bonne partie des espaces sont situés sous le niveau de la rue. Dans l'entrée principale est exposée une grande céramique de Joan Miró et Llorens Artigas, ainsi qu’une sculpture monumentale de Javier Pérez. Au sous-sol où se trouve l’accès aux salles, l’artiste locale Anabel Quincoces a installé en 2007 Water Flames (flowing), un ensemble sculptural de pièces de verre soufflé. Parmi les artistes exposés : Miquel Barceló, Joseph Beuys, Joan Brossa, Juan Francisco Casas, Jake et Dinos Chapman, Eduardo Chillida, Salvador Dalí, Óscar Domínguez, Manolo Millares, Joan Miró, Juan Munoz, Jorge Oteiza, Pablo Palazuelo, Pablo Picasso, Antonio Saura, Antoni Tàpies, Juan Uslé, et Darío Villalba. Histoire : le musée Artium, ou musée central basque d'art contemporain, est une institution semi-publique. Il dispose d'une importante collection d'art moderne et contemporain, principalement espagnol. D’implantation récente, ses collections sont cependant d'une richesse inattendue grâce à un travail de sélection qui remonte aux années 1970. Quartier médiéval La ville possède l'un des quartiers médiévaux les mieux préservés d'Espagne. Le quartier a conservé sa configuration en amande et une promenade au fil de ses ruelles permet d'admirer les remparts, les principales églises gothiques, de visiter des musées singuliers comme le Bibat d'archéologie et des cartes à jouer, ou encore de suivre le circuit des murales.

 

Capitale de la province d’Alava et de la Communauté autonome du Pays basque.

Ville étape pour la deuxième fois

Population : 253 572 hab.

Personnalités : Francisco de Vitoria (moine théologien, fondateur du droit international), Andoni Zubizarreta (gardien de l’équipe d’Espagne de football, 126 sélections), Joseba Beloki, Francisco Galdos, Igor et Alavaro Gonzalez de Galdeano, Javier Mauleon (cyclistes), Iker Romero (handball), Martin Fiz (champion du monde de marathon en 1995), Ernesta de Champourcin (poétesse), Ramiro de Maeztu (écrivain), Manuel Iradier (explorateur).

Spécialités : Perretxikos (champignons), Goxua (gâteau à la crème anglaise), Fèves à la façon de Vitoria, poêlée de légumes, poivrons frits, haricots secs dits « pochas ». La région de la Rioja d'Alava produit des vins protégés par l'appellation d'origine Rioja.

Culture et festivals : Azkena Rock Festival (juin), Festival international de jeux (juin), Festival de jazz de Vitoria (juillet), Dia del Blusa (juillet), Fiestas de la Blanca (août),

Sport : 80 000 licenciés. Saski-Baskonia (basket, deux fois finaliste de l’Euroligue), Deportivo Alaves (football, première division).

Évènements: Vuelta, Tour de France 2023, Ironman de Vitoria-Gasteiz.

Économie : administration (gouvernement et parlement basques). La ville est une cité administrative mais aussi un pôle industriel automobile important avec une usine de montage de véhicules utilitaires du groupe allemand Daimler-Benz avec son modèle Vito et des usines appartenant à Michelin et Daewoo.


 

SAINT-SÉBASTIEN VILLE D'ARRIVÉE ETAPE 2 - 02/07/2023 - ÉTAPE 2 - 209 KM - ACCIDENTÉE

SAINT-SÉBASTIEN ET LE CYCLISME

Saint-Sébastien a accueilli le Grand Départ du Tour de France en 1992 pour un prologue remporté par Miguel Indurain, alors que le Français Dominique Arnould remportait le lendemain la première étape tracée autour de la ville. En 1949, pour la première visite du Tour en Espagne, un autre Français, Louis Caput, s’y était imposé. En 1997, les championnats du monde qui s’y étaient déroulés avaient été particulièrement fastes pour le cyclisme français, avec la victoire dans l’épreuve en ligne de Laurent Brochard et celle, contre la montre, de Laurent Jalabert. Jeannie Longo avait pour sa part remporté le contre-la-montre féminin. La station balnéaire est essentiellement connue des coureurs actuels comme le siège de la plus grande classique espagnole, la Clasica San Sebastian, qui s’y déroule chaque année au mois d’août depuis 1981. Le dernier vainqueur en fut Remco Evenepoel, déjà sacré en 2019. Si Francesco Casagrande, Laurent Jalabert, Luis Leon Sanchez et Alejandro Valverde ont également réussi le doublé, le recordman de victoires reste Marino Lejaretta, qui a enlevé l’épreuve à trois reprises. Parmi les coureurs du cru, on citera Abraham Olano, originaire d’Anoeta, à 25 km de là. Champion du monde sur route en 1995, vainqueur de la Vuelta en 1998. Olano a remporté un chrono du Tour de France en 1997, son unique victoire sur la Grande Boucle en huit participations. Il termina à la 4e place à Paris cette même année. Pello Ruiz Cabestany, vainqueur de trois étapes du Tour d’Espagne, compte également une étape du Tour de France à son palmarès, en 1986. Son frère Jorge participa au Tour 1981. Plus près de nous « Chente » Garcia Acosta a participé à 12 Tours de France entre 1997 et 2008, remportant une étape en solitaire en 2000. Il compte également deux victoires d’étape sur la Vuelta. Depuis 2013, il est directeur sportif de la Movistar. Dans l’équipe espagnole, il a longtemps été le collègue d’un autre natif de Saint-Sébastien, Jose Luis Arrieta, qui a pour sa part couru dix fois la Grande Boucle.


À VOIR

Palais Kursaal Construction : inauguré en 1999. Architecte : Rafael Moneo Caractéristiques : le Palais Kursaal ou Palais des Congrès et Auditorium Kursaal est un complexe architectural constitué d'un auditorium, d’une salle de spectacles, de salles polyvalentes et de salles d'expositions. C’est là que se tient chaque année le festival du film de Saint-Sébastien. Il est constitué de deux grands cubes de verre pressé, séparés par une terrasse avec vue sur la mer. Histoire : le Kursaal original a été inauguré en 1921 en face de la plage de Gros. Devenu un bâtiment emblématique de la ville, il a néanmoins été démoli à partir des années 1960, faute de rentabilité en raison de l’interdiction des casinos. Un nouveau bâtiment, le Solar K, voit le jour en 1972, mais cède à son tour la place au nouveau Kursaal.


Festival du film de Saint-Sébastien Création : 1953 Histoire : organisé chaque année en septembre et connu des Espagnols comme le Zinemaldia, il est considéré comme le plus important festival de cinéma d'Espagne et même du monde hispanique. Le prix majeur du festival, depuis sa création, est la Coquille d'or. La sélection comprend une quinzaine de longs métrages en compétition et deux à trois films projetés hors compétition durant la semaine du festival. Palmarès : les plus grands réalisateurs (Dino Risi, Fred Zinneman, Marlon Brando, Elia Kazan, Francis Ford Coppola, Eric Rohmer, Terrence Malick, Marco Ferreri, Claude Chabrol) ont été récompensés d’une Coquille d’or. La Coquille d’or 2022 est revenue au film Los Reyes del Mundo de Laura Mora.


Théâtre Victoria Eugenia Construction : 1912 Architecte : Francisco de Urcola Style : néo-Renaissance Caractéristiques : le théâtre a accueilli toutes les éditions du festival international de cinéma de Saint-Sébastien jusqu'en 1999, durant lesquelles se sont déroulés des événements comme les premières mondiales des films Sueurs froides et La Mort aux trousses d'Alfred Hitchcock. Histoire : nommé en l’honneur de Victoire-Eugénie de Battenberg, épouse d’Alphonse XIII. Entre 2001 et 2007 a été mené à terme un profond processus de restauration du théâtre. Tout au long de son siècle d'histoire, il a été l'épicentre de la vie culturelle de la ville.


Mairie de Saint-Sébastien Construction : 1887. Histoire : d’abord casino de la ville, inauguré en grande pompe en 1887, le bâtiment a été recyclé en office du tourisme en 1928 après l’interdiction des jeux d’argent en 1924. L’édifice accueille la mairie depuis 1945.


Cathédrale du Bon-Pasteur Construction : 1889 à 1899 Style : néo-gothique Histoire : huit années sont nécessaires à l’achèvement de l’édifice, conçu par l’architecte Manuel de Echave. Son inauguration officielle intervient en 1897, en présence du roi Alphonse XIII et de la reine mère Marie-Christine. De simple paroisse dépendant de l'évêché de Vitoria, l'église du Bon Pasteur devient cathédrale du nouveau diocèse de Saint-Sébastien lors de la création de celui-ci en 1949. Caractéristiques : Manuel de Echave s’est inspiré de l'architecture religieuse allemande, notamment de la cathédrale de Cologne. Basée sur un plan en forme de croix latine, la nef est bordée de bas-côtés (triple vaisseau), ceux-ci étant doublés au niveau de l'abside (quintuple vaisseau). Néanmoins, au contraire de nombre de cathédrales de la région, l'abside est dépourvue de déambulatoire. La longueur totale de la nef est de 64 mètres, pour une hauteur sous voûte de 25 mètres.


Château de la Mota Construction : XIIe siècle Style : médiéval. Caractéristiques : il est situé au sommet du mont Urgull, un massif rocheux situé au nord de la ville à une hauteur de 120 mètres au-dessus du niveau de la mer. Histoire : le château remonte à 1150, lorsque Sanche le Grand de Navarre ordonna la construction d’une tour de guet pour la défense et érigea la première muraille autour de la ville. San Fuerte de Navarre l’a reconstruite et fortifiée et plus tard, Alphonse VIII de Castille y a apporté diverses améliorations. Destination actuelle : le château abrite actuellement une exposition consacrée à l'histoire de la ville, qui combine des pièces originales avec une série de reconstitutions, de gravures, de photographies historiques et de supports multimédias qui fournissent les clés de compréhension de l’histoire de la ville. Parmi ces différents types de pièces se trouve une intéressante collection de canons exposés à l’intérieur de l’exposition et dans la cour du château et dans d’autres endroits du mont Urgull. Classement : monument national depuis 1984.


À MANGER

Kokotxa

Les plats les plus typiques de Saint-Sébastien viennent presque tous de la mer : c’est le cas de la kokotxa ou bajoue de merlu en sauce verte. La kokotxa est la base de la partie inférieure du menton du merlu, le mot signifie menton en basque. On la prépare généralement avec des gousses d'ail hachées, du persil et de l'huile d'olive dans une cazuela en terre cuite, le tout mijoté et non doré, et en ajoutant du sel. Après l’avoir retirée du feu, on pratique un mouvement de va et vient pour détacher la gélatine. Cette opération doit être faite au moins deux fois pour que sorte toute la gélatine et que la sauce épaississe. Le mets est servi généralement très chaud dans la même cazuela.

 

Capitale de la province du Guipuscoa Ville étape pour la troisième fois Population : 187 849 hab. (436 000 hab. dans l’aire urbaine) Personnalités : Marie-Christine d’Autriche (reine d’Espagne), Alphonse XIII (roi d’Espagne), Cristobal Balenciaga (couture), Abraham Olano, Jose Luis Arrieta, Pello Ruiz Cabestany, Chente Garcia Acosta (cyclisme), Aritz Aranburu (surf), Aritz Aduriz (football, international espagnol), Mikel Arteta (football, entraîneur d’Arsenal), Pio Baroja (écrivain), Spécialités : Pintxos (tapas), Kokotxa (bajoue de merlu en sauce verte), Fromage d'Idiazabal, guindillas d'Ibarra, anchois à la donostiarra avec de l'ail, poissons frais, haricots de Tolosa, Txangurros (araignées de mer). Saint-Sébastien est aussi l’une des rares villes à disposer de trois restaurants classés trois étoiles au Guide Michelin. Culture et festivals : capitale européenne de la culture en 2016. Festival du film de Saint-Sébastien (septembre), Festival de jazz de Saint-Sébastien (mi-juillet). Tamborrada (janvier). Feria, Donostikluba (musique électronique). Palais Kursaal. Sports : Real Sociedad (football), Bera Bera Rugby, surf. Évènements: Clasica San Sebastian (cyclisme), Behobia-Saint-Sébastien (course pédestre). Économie : tourisme balnéaire, congrès. Université, commerces. Surnom : la perle du Cantabrique. Nom basque : Donostia. Sites web / FB / Twitter / Instagram: www.sansebastianturismoa.eus / www.donostia.eus / https://www.facebook.com/sansebastiantourism / https://twitter.com/SSTurismo / https://www.instagram.com/sansebastiantourism /


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