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  • Photo du rédacteurPar Joseph Polidori

ÉTAPE 6 - BINCHE > LONGWY

ÉTAPE 6 - BINCHE>LONGWY 220 KM - ACCIDENTÉE


VILLE DE DEPART : BINCHE AUJOURD’HUI

Un carnaval classé

Le Carnaval de Binche est un patrimoine vivant exceptionnel, un événement populaire, humain et social hors du commun. Il a d’ailleurs été reconnu Patrimoine Immatériel de l’Humanité par l’Unesco en 2003. Cette manifestation folklorique, issue d’une longue tradition orale, constitue un véritable rite qui donne le sentiment aux participants d’être uniques. Pour les Binchois et selon l’expression consacrée, « Il n’y a qu’un Binche au monde »… Durant plusieurs mois, la population et la ville préparent leur carnaval, véritable communion, sans aucun doute le moment le plus important dans la vie de la cité binchoise. Le dernier carnaval s’est déroulé les 3, 4 et 5 mars 2019 avec en apothéose, la sortie de près de 1 000 Gilles pour Mardi Gras. Les origines du Carnaval de Binche sont difficiles à établir avec certitude. La légende qui a remporté le plus grand succès est celle du Gille descendant des Incas, imaginée par le journaliste Adolphe Delmée au XIXe siècle. Ces Incas seraient apparus en costume lors des fêtes organisées par Marie de Hongrie en 1549 pour accueillir son frère, Charles Quint, et son neveu, Philippe II. Les Binchois appréciant leurs costumes colorés et exotiques auraient perpétué ce défilé dans la cité. Cette hypothèse farfelue séduit encore les acteurs du Carnaval de Binche car elle leur confère un caractère historique assez flatteur.

Le carnaval de Binche © Ville de Binche

BINCHE ET LE CYCLISME

En 2019, c’est au terme d’une étape partie de Binche que Julian Alaphilippe avait sabré le champagne à Épernay et porté pour la première fois le Maillot Jaune. Le puncheur français l’a depuis porté pendant 18 jours et au moins une fois dans chacune des trois dernières éditions. C’est aussi à Binche que s’est déroulé en 2018 le championnat de Belgique sur route qui avait vu la victoire du fidèle équipier de Julien Alaphilippe Yves Lampaert et lui avait permis de porter le maillot national sur les routes du Tour de France pendant tout le mois de juillet. Lampaert avait également terminé cette même saison deuxième de la semi-classique Binche-Chimay-Binche, alors remportée par Danny van Poppel, qui a récidivé en 2021. Cette épreuve, créée en 1911, a connu une histoire en dents de scie et a été relancée en 2010 sous le nom de Mémorial Franck Vandenbroucke en l’honneur de celui qui en avait remporté l‘édition 1996. En 2013, la ville du Hainaut avait également été le lieu de départ d’une édition de la Flèche wallonne remportée par Daniel Moreno. Parmi les coureurs nés à Binche, on note Albert Dubuisson, professionnel de 1938 à 1951 et qui participa au Tour de France en 1950, l’année de sa victoire dans le Tour de Belgique.

Daniel Moreno vainqueur de la Flêche Wallonne 2013 © A.S.O./Bruno Bade Julian Alaphilippe vainqueur de l'étape 3 Binche/Epernay du Tour de France 2019 © A.S.O./Alex BROADWAY Daniel Moreno vainqueur de la Flêche Wallonne 2013 © A.S.O./Bruno Bade Julian Alaphilippe vainqueur de l'étape 3 Binche/Epernay du Tour de France 2019 © A.S.O./Alex BROADWAY Daniel Moreno vainqueur de la Flêche Wallonne 2013 © A.S.O./Bruno Bade

À VOIR


Les remparts médiévaux Ce fleuron de l'architecture militaire médiévale est magnifiquement préservé. Construite en pierre au XIIe siècle, la fortification fut agrandie au XIVe siècle et s’est développée sur 2 126 mètres. Elle est épaulée de près de 30 tours et percée de six portes. Il n’est donc pas étonnant que Binche ait reçu le surnom de « Carcassonne belge ». À ne pas manquer, également, le refuge de Bonne Espérance.

Musée international du carnaval et du masque Ancien collège des Augustins du XVIIIe siècle, le Musée International du carnaval et du masque convie le visiteur à un voyage fascinant au cœur des fêtes et rites du monde entier. Du carnaval de Binche aux fêtes d’hiver d’Europe, des cérémonies masquées des Esquimaux en passant chez les Indiens d’Amérique du Nord, sans oublier l’Afrique, l’Océanie et l’Asie, l’universalité du masque et ses multiples usages sont à l’honneur. Le musée expose des centaines de masques, de déguisements et d’accessoires de toutes formes et de toutes matières. http://www.museedumasque.be

Beffroi de Binche Fondation : 1554 Style : Renaissance Caractéristiques : l’hôtel de ville de Binche est un bâtiment gothique tardif à deux niveaux, construit en grès de Bray pour la face principale vers la place, en briques et grès vers la rue des Boucheries. Il intègre au rez-de-chaussée trois arcades gothiques moulurées. Un beffroi où se superposent cinq registres inégaux en briques émerge du corps de l'édifice. Il abrite trois cadrans d’horloge encastrés dans les baies du niveau supérieur. Histoire : le Beffroi de Binche fait partie intégrante de l'hôtel de ville édifié au XIVe siècle. Le monument fut reconstruit en style Renaissance par l'architecte Du Broeucq après le sac de la ville par les armées françaises en 1554. Au XVIIe siècle, l'architecte Dewelz plaque une façade néo-classique sur le bâtiment. Après une importante restauration achevée en 1901, l'hôtel de ville a retrouvé son apparence Renaissance. Signes particuliers : un bulbe baroque coiffe le beffroi qui renferme un carillon dont plusieurs cloches remontent au XVIe siècle. Les armoiries de Charles Quint et de sa sœur Marie de Hongrie ornent le bâtiment. Classement : reconnu Patrimoine Mondial de l'Humanité par l'UNESCO

Centre de la dentelle et des métiers d’arts le Fuseau A l'origine, les dentelles de Binche ne se distinguaient pas des dentelles confectionnées à Valenciennes. Elles ont, en effet, la même origine et furent importées du Hainaut français au début du XVIIe siècle. Les différences se sont établies au fil des années. La dentelle de Binche s'est caractérisée par l'extrême finesse du fil (jamais coupé) utilisé par les dentellières. Le « fond de neige » donne ainsi aux ouvrages un aspect féerique. Particulièrement en vogue avant la Révolution française, sa renommée dépassa les frontières et Victor Hugo lui-même en fit un large écho dans Les Misérables. Ne dit-on pas que le « point de Binche » est le plus difficile du monde ?

Les vestiges du Palais de Marie de Hongrie Il aurait fallu pas moins de 5 millions de briques pour édifier ce palais commandé par Marie de Hongrie, gouvernante des Pays-Bas et sœur de l'Empereur Charles Quint, à l'architecte Jacques Du Broeucq. Entamée en 1545, la construction fut terminée en 1549 pour la visite de Charles Quint, mais le palais ne résista pas au passage des troupes du roi de France, Henri II. Réhabilité tout de suite après, l’entretien de l'édifice fut trop couteux et sa démolition fut décidée en 1704.

Brasserie « La Binchoise » L'histoire de la Brasserie remonte à 1847. En 1929, le site est acheté par Oscar Roulez, malteur, qui fait abattre l'ancienne brasserie pour reconstruire les bâtiments actuels. En 1979, André Graux installe la brasserie « La Binchoise ». Depuis 2000, les portes sont ouvertes au public. Cette brasserie au caractère authentique accueille pour des visites guidées et des dégustations de bières. www.brasserielabinchoise.be

Les vestiges du Palais de Marie de Hongrie © Creative Commons 3.0/Jean-Pol GRANDMONT Musée international du carnaval et du masque © Ville de Binche La dentelle de Binche © Ville de Binche Beffroi de Binche © Getty/boerescul Les remparts médiévaux © Ville de Binche Brasserie « La Binchoise » © Ville de Binche Les vestiges du Palais de Marie de Hongrie © Creative Commons 3.0/Jean-Pol GRANDMONT Musée international du carnaval et du masque © Ville de Binche La dentelle de Binche © Ville de Binche Beffroi de Binche © Getty/boerescul Les remparts médiévaux © Ville de Binche Brasserie « La Binchoise » © Ville de Binche Les vestiges du Palais de Marie de Hongrie © Creative Commons 3.0/Jean-Pol GRANDMONT

À MANGER


Les doubles de Binche

Si l’on dit que le Bon Dieu est binchou, il est une recette qui lui fait plaisir à coup sûr, : les Doubles de Binche. Ces crêpes spéciales existaient déjà à la première moitié du XIXe siècle et continuent aujourd’hui à ravir les papilles dans quelques établissements de la ville. Un peu de farine blanche de sarrasin, une bonne bouteille de Binchoise blonde (ou brune pour les plus aventureux), sel, poivre, levure fraîche, huile d’arachide et, ce qui donnera tout son goût au plat : un bon fromage bien fort comme celui de Herve, généralement le plus utilisé (un bon maroilles fera l’affaire également) et le tour est joué ! Il ne reste plus qu’à réaliser deux petites crêpes (d’où le nom de « Double ») et à les fourrer comme il faut de fromage fort, pour découvrir que, malgré son aspect rugueux, l’émotion et la tradition dégoulineront à chaque bouchée. À ne pas oublier, la petite noisette de beurre pour éviter que les crêpes ne s’assèchent et surtout, une bouteille de Binchoise au frais pour les accompagner.



VILLE D'ARRIVEE : LONGWY

LONGWY, UNE HISTOIRE

Le triptyque du feu

Située à un carrefour européen, Longwy est une ville dont l’histoire s’étend sur 2000 ans. Communément, le nom de Longwy peut être associé à un triptyque autour du feu. On parle ainsi du feu des canons pour évoquer le passé militaire et les fortifications de la ville, du feu des hauts fourneaux pour l’épopée industrielle et enfin du feu des fours de faïences pour marquer le savoir-faire de l’artisanat local des Émaux d’Art et Faïences. Louis XIV, conscient de l'importance stratégique de la place, fit bâtir une citadelle dont témoignent aujourd'hui l’enceinte fortifiée ainsi que les quartiers et places de la ville haute. Parmi les quelque 160 fortifications que Vauban fit édifier, Longwy est l'une des rares à avoir été créée ex-nihilo, ce qui lui a valu d’être intégrée en 2006 au Réseau National Vauban, qui, depuis juillet 2008, est classé au patrimoine mondial de l’UNESCO. Mais Longwy, c’est aussi un carrefour d’Europe, aux frontières belge et luxembourgeoise et à quelques encablures de l’Allemagne. C'est ici que la sidérurgie lorraine se développa jusqu'à donner à cette région le surnom de « Texas lorrain ». D’importants complexes sidérurgiques y ont perduré jusqu’à l’aube des années 1980. La ville a été donc été marquée par les brassages de population, avec la venue de main-d’œuvre étrangère (fortes communautés italiennes, polonaises, maghrébines et portugaises).


LONGWY ET LE CYCLISME

La construction des remparts a nettement précédé la première visite du Tour à Longwy en 1911. Bien que la majeure partie de l'Alsace-Lorraine ait été annexée à cette époque par l'Empire allemand, cet arrondissement faisait partie des rares secteurs restés français lors du découpage du traité de Francfort en 1871. Quatre arrivées d'étapes y ont été jugées dans ce contexte, jusqu'en 1914. Cette dernière étape, remportée par François Faber, donne lieu à une arrivée cocasse. Dixième au général, le Luxembourgeois n’est pas une menace pour Philippe Thys et ses adversaires le laissent partir sans réagir. Le vainqueur du Tour 1909 rallie Longwy avec plus de six minutes d’avance sur le peloton, mais dans un état d’ébriété extrêmement avancé. Pour se stimuler, il a siroté du cognac tout au long de son échappée ! En 2017, c’est Peter Sagan qui avait surgi dans la dernière bosse pour s’imposer à la veille de sa disqualification à l’issue d’un sprint houleux à Vittel, où le Slovaque était accusé d’avoir causé la chute de Mark Cavendish.

Peter Sagan vainqueur de l'étape 3 Verviers/Longwy du Tour de France 2017 © A.S.O./Alex Broadway François Faber, durant l'étape Belfort - Lyon sur le Tour de France 1909 © Pressesports Peter Sagan vainqueur de l'étape 3 Verviers/Longwy du Tour de France 2017 © A.S.O./Alex Broadway François Faber, durant l'étape Belfort - Lyon sur le Tour de France 1909 © Pressesports Peter Sagan vainqueur de l'étape 3 Verviers/Longwy du Tour de France 2017 © A.S.O./Alex Broadway

A VOIR

La forteresse Vauban Fondation : 1679-1684 Style : fort Vauban Caractéristiques : La forteresse est construite selon un plan hexagonal, enveloppe de six bastions, et équipée de toutes les commodités d’une place de guerre (église, arsenal, puits, casernes) disposés sur un plan d’urbanisme orthogonal. Au-delà de ces caractéristiques militaires, elle traduit également la conception qu’avait Vauban de la ville idéale. Une porte monumentale ainsi que quatre bastions ont été conservés. Histoire : Longwy devenue française par le Traité de Nimègue en 1679, Louis XIV décide la destruction de l’ancien Longwy-Haut médiéval et la construction d’une ville neuve, afin de constituer un maillon défensif important sur la frontière nord-est. Tout le talent de Vauban consiste alors à adapter le tracé de cette place forte aux contraintes d’un terrain en pente, posé au bord d’un escarpement, dominant la vallée de la Chiers et la ville basse. Signes particuliers : deux des quatre bastions renferment des magasins en forme de croix, exceptionnels chez Vauban, et les deux autres des poudrières modifiées. Classement : patrimoine mondial de l’Unesco en 2008

Le vieux château Fondation : IXe siècle Style : médiéval Caractéristiques : situé entre Longwy-Haut et Longwy-Bas, ce lieu constitue aujourd’hui un poumon vert au cœur de la ville. En plus d’une belle balade au milieu de vergers et d’un arboretum, son sol porte en lui l’héritage médiéval de Longwy. Histoire : datant au moins du IXe siècle et composé d’un bourg de maisons en torchis, d’un donjon et d’un marché, le site fortifié fut rasé par Louis XIV, qui fit ériger la ville haute. Le donjon, d’abord remplacé au XVIIIe siècle par une redoute est aujourd’hui recouvert par un système de casemates du XIXe siècle du type Serré de Rivières. Signes particuliers : tous les samedis matins, les bénévoles de l’association Castevicus permettent d’approcher un chantier de redécouverte et de restauration des anciennes murailles et des tours de Longwy.

Église Saint Dagobert Fondation : 1683-1690 Caractéristiques : elle dispose d'une façade de style classique tels les frontons cintrés ou triangulaires. Plusieurs fois détruite, elle fut reconstruite sous Vauban et le 8 août 1926 l'église refaite fut inaugurée. Elle a été lourdement endommagée en 1941. Histoire : l'église Saint-Dagobert a été construite dans la nouvelle ville de Longwy (1683- 1690), financée sur la cassette personnelle du roi de France. L’originalité de cette église résidait initialement dans la hauteur de sa tour clocher, qui perdit son troisième et dernier étage pendant la guerre de 1870-1871. Signes particuliers : aujourd'hui l'église renferme de très beaux orgues restaurés en 2004 et inaugurés alors par l'organiste de Notre Dame de Paris ! Classement : Monuments historiques en 1921

Le puits de siège A la fin du XVIIe siècle, cinq puits servaient à l'alimentation de la citadelle Vauban : celui de la place d'Armes, celui des cadets, celui de l'infanterie, celui de la cavalerie et un dernier qui alimentait la maison du Gouverneur. Le grand puits de la place d'Armes était le seul destiné aux civils. D’une profondeur de 60 m, d’un diamètre de 12 m, il était actionné par une grande roue à l’intérieur de laquelle marchaient deux hommes. Le Puits de Siège fut désaffecté en 1909. Il abrita un transformateur électrique EDF avant d’être restauré et d’accueillir depuis 1991 l’Office de Tourisme.

Musée, émaux et faïenceries de Longwy L’activité faïencière prend naissance à Longwy en 1798. Confortée par des commandes impériales suite à la visite de l'empereur Napoléon 1er à Longwy, la faïencerie passe en 1835 dans les mains du baron d’Huart. Ses fils, diplômés de l’École Centrale de Paris, développent l’activité familiale. En 1864, le faïencier Eugène Collinot invente un procédé de production décorative d’émaux, cloisonnés et modelés en relief sur biscuits de faïence, de porcelaine et autres surfaces. Le décor à fleurs de pommier sur fond d'un Bleu de Sèvres sera d'ailleurs pour longtemps le support emblématique des faïenceries de Longwy. En 1901 la société d’Huart frères se transforme en Société anonyme des faïenceries de Longwy, un nom qui accompagnera l’établissement jusqu’à sa fermeture en 1976, puis à sa renaissance en diverses branches toujours vives de nos jours.

Château de Cons La Grandville Fondation : XIe siècle Style : Renaissance Caractéristiques : Le château actuel est bâti sur les restes d'un château médiéval commandé par Dudon de Cons, compagnon de croisade de Godefroy de Bouillon, sur un promontoire rocheux entouré du village et de collines boisées. Il conserve de l'époque médiévale, les fondations et les parties basses, massives et fortifiées (au nord et à l'est). Il fut reconstruit dans un style « Renaissance » à partir de 1572. Ce nouveau château emprunte son esthétique à l'art de la Renaissance lorraine. Histoire : avant 1640, le château est aux mains des marquis de Pidancet (d'origine bretonne). À cette date, l'unique héritière de Cons-la-Grandville, Marguerite de Custine épouse Jean de Lambertye, un officier du Limousin, que Louis XIII nomma gouverneur de Longwy (enclave française en Lorraine). Si les noms ont changé, on peut toutefois dire que les actuels propriétaires sont les descendants directs (par les femmes) des premiers seigneurs du lieu, depuis le XIe siècle. Classement : Monument historique en 1947 puis 1987

Église romane de Mont Saint-Martin Fondation : XIe siècle Style : roman Caractéristiques : au sommet d’une colline surplombant les vallées de la Chiers et de Messancy, l’église romane de Mont Saint Martin occupe l’emplacement d’un des premiers lieux de culte paléochrétien de Lorraine. Reconstruite au XIe siècle, l’édifice se présente sous la forme d’une basilique à trois travées sans transept, que ferment à l’Est deux absidioles en demi-cercle. Histoire : mentionnée pour la première fois en 1096, l'église fut reconstruite au milieu du XIIe siècle et voûtée ou revoûtée vers 1200. Le prieuré de bénédictins, dépendant de l'abbaye Saint-Vanne de Verdun, donné en 1599 aux jésuites de Verdun, fut reconstruit en 1753 (date portée) et repercé au XIXe siècle. Une sacristie fut ajoutée dans la seconde moitié XIXe siècle. Classement : Monument historique en 1889

Église romane de Mont Saint-Martin © Creative Commons 3.0/Aimelaime Château de Cons La Grandville © Creative Commons 1.0/Caroline Léna Becker Le puits de siège © Creative Commons 3.0/Ncommiss Musée, émaux et faïenceries de Longwy © Ville de Longwy Église Saint Dagobert © Creative Commons 2.0/Vee-BY La Porte de France - credit Ville de Longwy © Ville de Longwy Église romane de Mont Saint-Martin © Creative Commons 3.0/Aimelaime Château de Cons La Grandville © Creative Commons 1.0/Caroline Léna Becker Le puits de siège © Creative Commons 3.0/Ncommiss Musée, émaux et faïenceries de Longwy © Ville de Longwy Église Saint Dagobert © Creative Commons 2.0/Vee-BY La Porte de France - credit Ville de Longwy © Ville de Longwy Église romane de Mont Saint-Martin © Creative Commons 3.0/Aimelaime

À MANGER

L’étoile Vauban

Les pâtissiers longoviciens se sont alliés pour créer « L’étoile Vauban », une pâtisserie qui se compose d’une base de quatre-quarts, fourrée d’une compotée de pommes et de mirabelles, liée au miel. Ce petit gâteau est réalisé dans un moule en forme d’étoile, qui rend hommage aux fortifications de Longwy, crées il y a plus de 300 ans par l’architecte militaire de Louis XIV. source T2F2022

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